17 choses que l’on oublie en grandissant
17 choses que l’on oublie en grandissant
17 choses que l’on oublie en grandissant
J’ai 34 ans.
Je n’ai pas l’intention de trop “grandir”. Je suis peut-être une adulte responsable, mais cela ne m’empêche pas de faire des monologues de dix minutes devant le miroir de ma salle de bains.
Je suis professionnelle, sérieuse dans mon travail avec ma part de fantaisie qui ajoute cette touche de magie, d’espoir ainsi que de douceur.J’ai bien l’intention de construire des cabanes avec mon fils, de faire de la balançoire ainsi que du toboggan!De regarder Star Wars ou tout les Disney en famille ! Grandir oui c’est ok. On peut être responsable, on peut réussir, on peut aussi gagner beaucoup d’argent, tout en restant un enfant dans l’âme. En vieillissant, beaucoup oublient comment faire. 17 choses que l’on oublie en grandissant Attention moment nostalgique,
Voici 17 choses que l’on a sûrement faites enfant :
1. Construire pour jouer
Vous vous souvenez quand vous construisiez des monuments en Lego puis que vous les détruisiez pour tout recommencer ? C’est ça la joie.
2. Le contact de l’herbe.
Je me souviens d’avoir passée de nombreuses heures, enfant allongée dans l’herbe, je sentais les brins d’herbe me chatouiller le cou et l’arrière de mes jambes. Quand avez-vous touché le sol pour la dernière fois ?
3. Le gribouillage.
Toutes ces heures passées à griffonner étaient une façon d’explorer ainsi de laisser libre cours à ce qui voulait sortir. C’est étonnant de voir combien peu de gens griffonnent pendant les réunions. Aujourd’hui je le fais beaucoup quand je suis au téléphone.
4. Réorganiser votre chambre.
Allez, admettez-le. Combien de fois avez-vous passé un après-midi entier à réorganiser votre chambre juste parce que vous le pouviez, ou parce que vous vouliez essayer quelque chose de nouveau. 5. Jouez dehorsLa sensation de courir pour sauver sa vie, pendant une partie intense d’une histoire sortie de votre imagination. Cette capacité a transformé la terre en poudre de fée magique ou ce bâton en super baguette de sorcier. 6. Tout vouloir essayerEnfant, je vivais pour les nouvelles expériences. L’idée d’essayer quelque chose comme tirer avec un arc et des flèches me semblait tellement cool. Ou de grimper à un arbre. Découvrir ce qu’il y a au bout de chaque chemin. Qu’est-il arrivé à cette passion ? À quand remonte la dernière fois où vous avez eu ce ressenti ?
7. L’ imagination.
Quand vous étiez enfant, vous vous souvenez du nombre de mondes que vous inventiez dans votre tête ? Les jeux que vous créiez avec des objets domestiques ? Les histoires que vous inventiez pour les gens que vous croisiez dans la rue ?
8. Le premier baiser.
Qui n’aime pas les papillons ? Tout le monde connaît cette sensation excitante dans l’estomac. Alors, quand avez-vous regardé pour la dernière fois la personne que vous aimez, celle avec qui vous dites vouloir passer le reste de votre vie, l’avez embrassée comme si c’était la première fois ? Cela vous arrive-t-il ?
9. Faire une promenade.
Quand nous étions enfants, nous ne faisions que nous promener. Nous ne pouvions pas conduire. Parfois, nous avions des vélos. Mais la plupart du temps, on marchait. Nous rentrions de l’école, nous allions chez les uns et les autres, nous descendions la rue jusqu’au grand terrain herbeux où nous pouvions jouer au football, à cache-cache, trap trap ou au frisbee. Marcher, une joie si simple dans la vie. Mais maintenant que vous êtes plus âgé, vous conduisez probablement partout. Essayez de faire une longue promenade et voyez comment vous vous sentez.
10. Inventer un jeu.
Quand j’étais enfant, sans effort, j’inventais tout type de jeu de société, théâtrale bref tout y passer.
11. Parler à un étranger.
Même lorsque vos parents vous mettaient en garde contre le danger des inconnus, si vous voyiez quelqu’un qui avait l’air intéressant, vous trouviez un moyen d’attirer son attention. Vous étiez curieux.
12. Regarder un film entier (sans vérifier votre téléphone).
À quand remonte la dernière fois où vous avez regardé un film entier, du début à la fin, sans répondre à des SMS, vérifier Instagram ? Il y a une magie qui se produit lorsque vous vous immergez complètement dans un film, surtout lorsqu’il est associé à un bol de pop-corn. Lorsque vous consultez votre téléphone, cette magie est perturbée.
13. Tenir un journal.
C’est incroyable le nombre de personnes qui admettent avoir tenu un journal intime quand elles étaient enfants, mais qui ont ensuite arrêté. La tenue d’un journal est une pratique tellement intime, un moyen pour vous de vous comprendre plus profondément. Enfant, c’était un moyen de donner un sens au monde qui émergeait autour de vous. Continuez à écrire votre journal. Votre voyage n’est pas encore terminé.
14. Écrire une lettre à quelqu’un.
À quand remonte la dernière fois où vous avez pris une feuille de papier et écrit une lettre à quelqu’un ? Un ami, un être cher. L’écriture à la main est tellement plus personnelle que la dactylographie.
15. Peindre (et se salir).
Vous aviez hâte de plonger dans les pots de peinture quand vous étiez petit. Il y a une joie à s’asseoir à la table de la cuisine, à étaler un tas de papier journal et à laisser les couleurs s’envoler. Vous ne vous considérez peut-être pas comme une personne très créative. Ce n’est pas grave. Vous ne peignez pas pour prouver que vous êtes créatif. Vous peignez pour libérer votre âme. 16. Faire de la musique.
Vous vous souvenez de votre guitare en solo ou avec votre groupe de musique ? De vos paroles de chanson dans les magazines que vous chantiez avec votre micro écho en plastique ? Vous passiez des heures, à jouer différentes mélodies, juste parce que c’était amusant.
17. Avoir des conversations ouvertes et vulnérables.
Enfin, j’ai l’impression que tout le monde a du mal à le faire en vieillissant : révéler ce qui les effraie, ou ce qu’ils ressentent vraiment à un moment donné. Quand on était enfant, on ne pouvait presque rien y faire. Tant de choses changeaient dans le monde que l’on se tournait vers les autres pour obtenir des informations ou des conseils. En vieillissant, en décidant “qui nous sommes” dans le monde, nous avons tendance à masquer les choses que nous partageons avec les autres en conséquence.